• sans commentaire.

     

     

     

     


    3 commentaires
  • A la demande des lecteurs, petit retour sur certaines oeuvres de Komuro Tetsuya.

    De 86 aux années 2000, Komuro a marqué les charts nippons avec un nombre conséquents de singles pour lui, ses acolytes, d'autres groupes affiliés ainsi que diverses chanteuses...  Il y a du bon et du mauvais ; les fans se souviendront surtout du bon, et ce que l'on remarque souvent, c'est une certaine nostalgie chez ceux qui ont découvert la jpop avec l'époque où celui-ci était dans sa grande période. Certains même se reconnaitront probablement  dans le profil du fan dépassé de Jpop-trash. Le plus marrant, c'est que parfois, j'ai lu des présentations de Komuro totalement délirantes où on le place sur un podium comme le plus grand artiste, et ce, dès les années 80; alors que TM-Network n'était qu'un groupe comme les autres, pas du tout au niveau des ventes des Checkers par exemple.

    Il faut remettre les chose à leur place :  Komuro a un son qui correspond à une époque et il a misé sur l'emploi de certains samples qui passent mal aujourd'hui.

    Personnellement, il m'arrive encore d'écouter du TM-Network, mais je constate que ce  rythme qui a fait le succès de Komuro a été usé et usé jusqu'à la moelle. Aujourd'hui encore, Komuro fait pour AAA les mêmes titres qu'ils faisait pour TRF. La preuve :

    AAA : paradize

    TRF : BOY MEET GIRL

    Le truc, c'est que 15 ans après, malgré un petit détour vers la Trance, Komuro fait toujours la même chose qu'à ses débuts. C'est comme si Johnny Halliday en était resté à ses tubes 60's.

    Certaines collaborations sont mêmes désastreuses. Ici, Hamachan, de DownTown, qui chante comme un pied sur un tube trop pourri made in Komuro. Bon, évidemment, cela a été conçu dans un esprit de déconnade, mais bon sang que c'est mauvais et préjudiciable dans une discographie respectable.

    Il y a eu aussi l'époque des titres composés pour Suzuki Ami, qui massacrait les refrains en live....La composition et l'interprétation rivalisaient dans la médiocrité.

    Je pense aussi à dream rush de Miyazawa Rie, l'idole d'une époque. Elle a au moins l'excuse de s'être concentrée sur sa carrière cinématographique.


    Je vais vomir et je reviens.


    2 commentaires
  • J'ai dû m'absenter ces dernières semaines et j'ai zappé l'actualité jpop du mois.

    Comme je viens de rentrer,j'ai consulté les news et visionné des émissions pour me remettre dans le bain. Il me reste à faire le tri parmi les titres les plus ridicules, et dieu sait qu'il y en a un paquet.

    C'était sans compter Youtube, qui m'évite d'avoir à rechercher morceau par morceau. Ce site me fait gagner un temps fou en proposant des vidéos dans le même style que mes requêtes précédentes.

    En fonction des daubes sonores recherchées auparavant, Youtube me recommande fortement d'écouter ceci :

    Ogura Yuko avec ses pattes de poulet et sa voix nasillarde arriverait presqu'à cacher son âge réel : 27 ans

    La fin de carrière semble inéluctable et imminente pour elle, à moins de se reconvertir en invitée pour les jeux télévisés ou bien se lancer dans le porno.

    Le plus intéressant dans ce clip reste les commentaires sur youtube ; pas moins de 2653 en 2 ans.

    "I love this!!!! Her microphone is super cool!"

    "wow she is soooooo beautiful, and she has a great voice..I wants to live in japan now!!!!!"


    5 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique