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Kiryu : Etsu & Utsu
Un truc incroyable avec le visuel, c’est que ce style est figé dans le temps : 2008, 1998, 2013, 2003… Ce sont exactement les mêmes voix, les mêmes fringues … Ils se recyclent mutuellement, en boucle et à l’infini…
Allez hop, un peu de Dir en grey, de Creature, et un soupçon de Psycho le cému.
Voilà ce que ça donne : un clip nocif pour la vue et l’ouïe.
Si le Darwinisme était appliqué à la musique, le visuel serait voué à disparaître de par son aspect figé, mais cela n’arrive pas parce que ce genre d’étron sonore répond curieusement à la demande d’un public de 15-18 ans, gothique, androgyne, peu éduqué sur le plan musical et mal dans sa peau… Bref, c’est la musique de l’adolescent névrotique.
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Commentaires
Détrompe-toi, la jpop n'est pas un produit culturel destiné à mourir. C'est un outil gouvernemental pour transformer le citoyen japonais soit en guimauve apathique, soit en hispter herbivore, soit en lolita-pétasse. Ce qui a disparu, ce sont les chanteurs engagés.
3BoeufVendredi 12 Avril 2013 à 16:28Après avoir lu l'interview de l'ancien employé d'un label de Visual Kei sur J-Pop Trash, je vois plus ces gars de la même manière lol. Ils utilisent encore les mêmes techniques aujourd'hui ? Les mecs que je vois ici maquillés et travestis sont-ils des racailles à la base ?
L'article sur JT souligne le fait que ce sont surtout des marginaux et des gens issus de familles défavorisées.
5FlanighanSamedi 20 Avril 2013 à 14:32Ou si ça se trouve, les gens ont la mémoire courte. C'est une autre explication à la survie de ce genre musical.
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Je ne pensais même pas que la jpop survivrais au calendrier maya