• On ne va pas présenter le boysband pour fillettes Tôhôshinki que vous connaissez déjà tous. Cela fait déjà quelques temps qu'ils parasitent les charts nippons dans le cadre de la niche commerciale "vague coréenne" pour laquelle de nombreuses petites Japonaises sont prêtes à dépenser sans compter pour voir de mignons petits hommes imberbes et teints en blonds.
    Après 10 ans, cette vague coréenne commence à saouler pas mal de monde...

    Le membre le plus charismatique du groupe (mouhahaha, je m'étouffe de rire, tant ce que je viens d'écrire est con) se devait de laisser une merde "solo", d'autant plus que le groupe commençait à s'essoufler au Japon.


    Evidemment, c'est dans leur domaine de prédilection qu'il fallait poursuivre : le RnB pour collégienne. Le clip commence par une très longue introduction bien en adéquation avec la suffisance des Tôhôshinki. Ensuite, l'air RnB a des relents d'autres airs déjà entendus... On ne retiendra que l'insipidité et le manque d'originalité d'un tel titre solo. La composition plutôt lente et monotone contraste un peu avec la chorégraphies de frimeur et les paroles suffisantes (I know that you want me...kiss and touch me, je vais te rendre dingue)...

    On appréciera les petits passages où le petit asiatique montre ses gros biscotos....
    Il serait amusant des montrer en même temps ses pattes de poulet, ça va bien ensemble.


    2 commentaires
  • Ces dernières années, on nous a bien saoulé avec le rappeur SEAMO. On cherche toujours les raisons d'un tel matraquage commercial puisqu'il ne semble pas très doué...ou pas plus que ses concurrents.
    Apparemment outre pacifique aussi, le rap attire les artistes en manque de talent...

    Récemment, on a pu voir ce pitre gesticuler dans le clip de MEGARYU. (celui à l'écharpe)

    Eh bien, il a fait du chemin....
    Il se trouve qu'on connaît du monde qui l'a connu à ses débuts.
    Si dans ce clip, il se la joue idole rap au coeur tendre, pour nous les souvenirs sont autres :
    On se rappelle surtout ses premières années à se pointer au maximum d'événements possible en rappant et dansant avec pour seul habit, un masque de Tengu (là où les occidentaux auraient mis une feuille de vigne).
    Maintenant, SEAMO est largement au dessus de tout ça, mais il ne repasse plus dans les anciens clubs qu'ils fréquentait parce qu'ils sont nombreux à se souvenir du pitre nu.

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