• Celui-ci nous en aura fait voir de toutes les couleurs. Après son trip "je suis né en France pendant la Renaissance", après sa période "guerrier robot" et celle "guerrier japonais", c'est maintenant Gackt, sauveur du monde, avec un clip apocalyptique où figurent de nombreux occidentaux qui doivent se demander ce qu'ils font là entre ce type à la voix déraillante et ces joueurs de violons et violoncelles ayant échappé à la destruction du monde...

    Pour avoir un égo surdimensionné, te présenter encore une fois comme un sauveur (cf clip OASIS il y a 10 ans), et toujours user et abuser de la même intonation à chaque refrain, le Tribunal te condamne à adhérer au parti de Ségolène Royal.


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  • Avec un nom pareil, on était pourtant en droit d'attendre un groupe nippon.

    Les langues miaulantes d'asie du sud-est ont des chansons leur permettant de mettre en valeur leurs voix si particulières. Là, on est juste dans le plagiat du Japon. Il y a tellement d'indices de repompages, qu'on voit tout de suite que c'est le concept du duo Puffy qui est repris. Ils sont enlevé l'aspect pop-rock dont les Puffy étaient capables, pour ne garder que les aspect suivants : idol-pop sirupeuse, gothic lolita, kawaii attitude...

    Pour avoir singé Puffy, le Tribunal vous condamne à 30 d'occupation japonaise, comprenant déportations et travaux forcées jusqu'à ce que mort s'ensuive.


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  • L'année 2010 a commencé fort pour nos oreilles avec 3 titres de ce boysband de décérébrés dans le top3 des meilleures ventes CD. Autant dire que le public a dégusté à la télé, avec les nombruses apparitions du groupe.
    N'ayant pu trouver la vidéo des 3 déchets audio, je poste une chanson bien représentative du groupe : Ôsaka, sukiyanen, titre censé rappeler le thème de l'équipe, qui est un mélange de membres de différents boysbands, mais ayant le point comme d'être de la région du Kansai.
    Alors qu'ils sont tous montés à Tokyo pour faire fortune, ils interprêtent un "j'aime Ôsaka" avec l'accent du Kansai. Au programme : mièvrerie, têtes de c*n, torses sans poils et chorégraphie de tarlo*zes.
    Etant tous danseurs à la base, les prestations sur scène sont plutôt fatigantes par leurs gesticulations...

    Le Tribunal les condamne à être pendu par les roubignolles.

     


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